Elles sont nombreuses dans les zones aux terres incultes. Plus rares dans les plaines fertiles. Elles ont abrité le berger de la pluie ou du soleil ardent, les récoltes d’olives au moment de leur cueillette ou le chasseur pour s’y cacher.
Elles font partie avec les murets de pierres sèches et les amoncellements de cailloux calcaires du paysage typique de la région qu’elles ont modelé et structuré.
Nous vous invitons à en découvrir quelques unes parmi les centaines qui peuplent discrètement nos garrigues et terres délaissées.
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