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Vous longez un imposant mur de pierre dans lequel, si vous osez vous aventurer parmi les ronces et les salsepareilles, vous découvrirez une étonnante cabane de berger.
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Quelques dizaines de mètres après l’orée du bois,
quittez le chemin qui file tout droit, pour partir à gauche sur un petit sentier qui traverse une ancienne oliveraie (on les appelle ici les “olivettes”).
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En reprenant le chemin vous ne pouvez qu’être ébahi par votre nouvelle découverte. A gauche, au débouché d’un bosquet de chênes verts, planté au fond d’une petite clairière le Château : une triple capitelle parfaitement conservée malgré ses deux cents ans! C’est une des rares capitelles ayant hébergé une famille sédentaire, vraisemblablement des charbonniers.
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En continuant de suivre le petit sentier qui s’enfonce dans les bois, vous rejoignez quelques centaines de mètres plus bas un chemin forestier plus large. Si vous avez fait attention
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entre-temps vous aurez pu apercevoir deux ou trois capitelles à peine visibles dans la végétation touffue.
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En empruntant ce chemin forestier à droite, vous vous dirigez vers un plateau puis une clairière plantée d’oliviers, au fond de laquelle se trouve une superbe capitelle à laquelle s’adosse le reste d’un appentis qui pouvait servir à l’entreposage des récoltes d’olives.
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